5 OUTILS POUR CONTINUER À AVANCER QUAND L’ÉMOTION EST (TROP) FORTE

Publié par Jean-François Clausse

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Temps de lecture : 9 minutes.



La vie nous bouscule parfois plus que de raison alors il n’est pas inutile d’avoir quelques outils à sa disposition pour continuer à avancer même quand l’émotion est trop forte.

Dans ce nouvel article, je vais vous raconter une expérience intime que j’ai vécue dans un moment dramatique.

Si l’histoire que je vais relater ici est (très) personnelle, je pense qu’elle pourra vous être utile la prochaine fois que vous vivrez un de ces moments où votre vie se met à tanguer un peu trop fort …

Avant cela, je dois juste vous préciser que cet article participe à un événement inter-blogueurs. (En gros, on se regroupe pour traiter chacun à notre manière un même thème). Cet événement s’intitule :

’’Comment faire face à ses émotions et continuer d’avancer ?’’

Il est organisé par Caroline du blog bien-etre-en-cours. C’est un blog très sympa sur lequel vous trouverez plein de ressources pour vous sentir aussi bien dans votre tête que dans votre corps. (Vous pouvez lire par exemple ici un article très intéressant sur la cohérence cardiaque).

Ceci étant dit, laissez-moi vous raconter mon histoire…


AVANCER QUAND L’ÉMOTION EST TROP FORTE  : visuel de titre


AVANCER QUAND L’ÉMOTION EST TROP FORTE : LA VIE QUI BASCULE.

Marrakech. 3 janvier 2020.

DOUCEUR

Je fais le plein de douceur(s) et de sérénité sous le soleil du Maroc avant de partir vivre la rudesse de mon premier hiver québécois. Dans 15 jours, je vais en effet prendre un virage inédit dans ma vie en m’expatriant dans la belle province.

A cet instant, je ne sais pas encore à quel point un autre tournant va m’emmener loin dans un dérapage tout sauf contrôlé…

Vers 18h, mon téléphone m’indique un appel manqué de mon frère.

Je ne me précipite pas. Nous sommes en attente d’une mauvaise nouvelle : le meilleur ami de mon père vit ses derniers instants de vie dans une unité de soins palliatifs. J’imagine qu’il vient m’informer de son décès. La tristesse peut bien attendre encore 10 minutes.

Finalement, je prends le temps de rappeler. Mon frère décroche. A l’inspiration qu’il prend avant de me parler, je sais déjà que je n’ai aucune envie d’entendre ce qu’il a à m’annoncer… J’ai bien raison.


AVANCER QUAND L’ÉMOTION EST TROP FORTE : gros plan de téléphone.
A 2 doigts de voir sa vie basculer…

DOULEUR

Mon père a subitement déclenché une fièvre si forte qu’on a dû le plonger dans le coma. Le verdict est tombé dans l’après-midi : encéphalite méningée. La pire du genre. Le cerveau est atteint. Le pronostic vital engagé.

La langue française est parfois bizarre. Il suffit d’échanger une seule lettre pour basculer de douceur à douleur.

Il suffit aussi d’échanger un seul coup de téléphone pour basculer de joie à peur, tristesse, colère ou culpabilité.

Les émotions fortes arrivent comme on voit arriver un tsunami. Au loin et au ralenti. On n’a pas du tout envie de croire à ce qui est en train d’arriver et pourtant on sait déjà que la vague va être énorme…



AVANCER QUAND L’ÉMOTION EST TROP FORTE : un tsunami émotionnel. vague avec yeux tristes
L’enjeu : faire face au tsunami émotionnel…

1. AVANCER QUAND L’ÉMOTION EST TROP FORTE : VIVRE L’ÉMOTION.

Savez-vous comment le maître Reiki que je suis gère ses émotions quand un événement important chamboule sa vie ?

Et bien il ne gère rien du tout…

Femme derrière un grand parapluie rouge

Parce qu’aucune émotion n’est à gérer. Elles sont toutes à vivre ! Nous sommes des humains et nos émotions sont les baromètres de notre météo intérieure.

N’imaginez même pas évaluer, mesurer, prendre des précautions en fonction de cette alerte météo. Aucun parapluie ne vous protégera. Aucun manteau ne vous réchauffera. Vous êtes seuls. Vous êtes nus. Il y a juste à vivre ce qui se passe.

Et quand on vous annonce que votre santé ou celle d’un proche est gravement menacée, la seule chose qui se passe c’est que vous vous retrouvez littéralement coupé en deux par vos émotions.

La peur, l’impuissance et la tristesse s’invitent et mettent à sac en quelques secondes ce calme intérieur que vous aviez mis tant de temps à trouver.

Alors vous avez envie de pleurer ? Pleurez.

Vous avez besoin de crier ? Criez.

Vous avez peur ? Vous avez bien raison. Votre monde bascule et vous avez ABSOLUMENT le droit d’avoir peur.



AVANCER QUAND L’ÉMOTION EST TROP FORTE : une petite fille qui pleure...

Car il y a un enfant à l’intérieur de vous qui a besoin d’exprimer tout cela. Ne le contraignez pas à ‘’être fort’’ ou à ‘’se battre’’ vous ne feriez que rajouter de la souffrance à sa douleur.

Donc quelle que soit votre avancée sur un chemin de développement personnel ou spirituel, acceptez de tout oublier ! Ne gérez rien et laissez vous traverser.





2. AVANCER QUAND L’ÉMOTION EST TROP FORTE : RESPIRER.

‘’Alors il n’y a donc rien à faire ?!…’’ Si.

La première chose qu’on oublie de faire dans ce genre de situation c’est : respirer. Il s’agit donc de rapidement reprendre son souffle.

Dès qu’on prend connaissance d’un événement qui nous submerge, c’est notre corps tout entier qui se contracte. On a littéralement le souffle coupé et la première grosse contraction se fait sur notre poitrine.

LA RAISON ?

Vos émotions primaires sont à l’œuvre et elles ont des incidences directes sur votre métabolisme. Vestige de votre cerveau reptilien, votre respiration s’est mise en ‘’mode survie’’ avec une inspiration et une expiration raccourcies pour face au danger qui approche…

En effet, notre logiciel interne d’homo sapiens a toujours dans un coin de sa mémoire millénaire des réflexes archaïques. Parmi eux :

➡️ Respirer lentement pour ne pas se faire repérer.

➡️ Envoyer un maximum de sang vers nos jambes pour fuir ou vers nos bras pour se battre.

LA SOLUTION ?

Associer la respiration thoracique à la respiration abdominale. Je vous expliquais tout cela en détail dans cet article avec un exercice qui m’a permis plus d’une fois d’éviter la panique en dominant mon stress.

En effet, il s’agit à cet instant de ré-oxygéner son cerveau pour y voir plus clair et commencer à prendre les bonnes décisions…

AVANCER QUAND L’ÉMOTION EST TROP FORTE : femme qui respire
Prendre le temps de respirer


3. AVANCER QUAND L’ÉMOTION EST TROP FORTE : RESTER DANS L’INSTANT PRÉSENT.

Si vous voulez prendre les bonnes décisions quand l’émotion est trop forte, vous pouvez compter sur un allié : le moment présent.

UNE BOUCLE SANS FIN

A Marrakech, juste après avoir raccroché, a débuté une danse folle avec mon mental.

Il s’est mis à faire des allers-retours incessants entre mes souvenirs avec mon père et les questionnements d’un futur hypothétique dans lequel se dessinaient seulement 3 issues :

👉 d’importantes séquelles invalidantes.

👉 la mort.

👉 un miracle.

Ces 3 options me plongeaient dans un tel désarroi que je repartais aussitôt chercher réconfort vers mes souvenirs qui, eux-mêmes, me plongeaient dans un tel chagrin que… Bref une boucle sans fin !


AVANCER QUAND L’ÉMOTION EST TROP FORTE : homme tenant un réveil
Rester ici et maintenant…

LA FIN DE LA BOUCLE

Je repensais alors à cette citation d’Eckhart Tolle qui est celui qui a le plus théorisé l’instant présent :

‘’Le mental cherche toujours à nier le moment présent et à s’en échapper. Autrement dit, plus on est identifié à son mental, plus on souffre’’.

Tout est dit. N’essayez pas de suivre votre mental ! Comme je le développe longuement dans cet autre article, il ne connaît que le passé et le futur. Alors si vous ne voulez pas sombrer dans les abysses de l’angoisse, il n’y a qu’une seule chose à faire :

RESTEZ LÀ OÙ VOUS ÊTES, DANS LE MOMENT OÙ VOUS ÊTES.


Dans cet espace tout n’est peut-être pas parfait mais tout est en place. RÉEL. Tout le reste n’est qu’un brouhaha mental qui vous éloigne de la situation telle qu’elle est, et surtout, il vous éloigne… de vous !

Plus facile à dire qu’à faire ? Certainement. Ça demande un effort et une vigilance de chaque instant.

Mais c’est vital pour vous et les vôtres. Et pour la suite de votre vie…



4. AVANCER QUAND L’ÉMOTION EST TROP FORTE : PARTAGER.

Une fois que vous aurez accepté de vivre vos émotions, que vous aurez pris conscience de votre respiration et fait attention à bien rester dans le moment présent… Vous allez commencer à accepter l’idée que tout ce qui est en train de vous arriver est bien en train de vous arriver.

Cependant, je me dois de vous prévenir tout de suite :

Rien de tout cela ne sera suffisant pour aller mieux !

La dose émotionnelle est encore trop lourde. Il va vous falloir faire un pas de plus vers l’acceptation en partageant vos émotions.

LIBÉRER LA PAROLE

Demandez de l’aide et je vous garantis que vous la recevrez. Même les gens qui ne vous connaissent pas sont beaucoup plus compatissants et d’une aide beaucoup plus précieuse que ce que vous pouvez imaginer.

AVANCER QUAND L’ÉMOTION EST TROP FORTE : mains qui tiennent d'autres mains
Partager…

De Marrakech à la chambre de réanimation de mon père, 3000 km plus loin, beaucoup de choses se sont réglées parce que j’ai accepté de m’en remettre aux conseils, aux jugements, aux bras de mes proches ou de personnes de  passage qui m’ont grandement facilité le rapatriement.

Alors trouvez une oreille attentive, n’hésitez pas à exprimer ce qui a besoin d’être exprimé en vous et pleurez ce qui a besoin d’être pleuré. Votre mot d’ordre doit être : EXTÉRIORISER POUR ÉVACUER !


LE SILENCE N’EST PAS D’OR

Il est en effet capital, dans ces instants-là, de laisser un minimum de non-dits ou de silences en vous. Alors oui, mettez ‘’à l’extérieur’’ de vous ces émotions qui vous assaillent de l’intérieur. Non pas pour les rejeter mais pour les verbaliser.

Il y a 3 bonnes raisons à cela :

  • 1. Mettre de la distance avec la douleur immédiate.
  • 2. Vous permettre d’y voir plus clair.
  • 3. Épargner votre corps qui ne va pas tarder à somatiser : maux de tête, eczéma, courbatures, palpitations, vertiges… Si vos émotions ne sont pas évacuées par la parole, elles feront leur chemin à travers votre corps et se matérialiseront bientôt sous forme de malaise ou de maladies…

Rappelez-vous que :

‘’Tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime.’’

Carl G. Jung

Dans ces moments où vous perdez pied, où les bras vous en tombent, où la tête vous tourne, la vie sait vous prendre en charge à un point que vous n’imaginez pas… Mais il faut que vous acceptiez de collaborer avec elle !



5. AVANCER QUAND L’ÉMOTION EST TROP FORTE : ÉCOUTER LA VIE.

Marrakech. 4 janvier 2020.

Aéroport de Marrakech
L’aéroport de Marrakech

Je monte dans l’avion qui nous ramène vers mon père. Nous avons trouvé un vol rapidement mais les questions m’envahissent à nouveau. ‘’Cette maladie est-elle vraiment si grave ?… Peut-être s’inquiète t’on trop ?… Papa est costaud il s’est remis de tellement de problèmes’’.

Je vous laisse noter au passage comment le déni s’insinue sournoisement dans notre esprit encore incapable d’accepter la situation… Éloigné des sources d’informations rationnelles, notre mental se saisit de la moindre occasion pour nous ramener dans sa danse infernale !

Mais je commence à bien le connaître et, pour couper court avec ce brouhaha mental, j’ai pris l’habitude d’interroger pour avoir les réponses à mes questions. Mon interlocuteur ? LA VIE !

Je sais qu’elle nous parle à chaque instant.  C’est bien de ça dont il s’agit quand je parle de petite voix intérieure… Il suffit de nous mettre à son écoute pour entendre ses messages.

Si, si ! Vous allez voir… Il suffit d’ouvrir nos yeux pour cesser d’être aveugles.

Par exemple ?…


SYNCHRONICITÉS

Au moment où je me pose toutes ces questions, au travers du hublot, mes yeux se posent sur une énorme affiche publicitaire posée au loin sur une route longeant les pistes de l’aéroport. Sur cette affiche, un seul mot. Énorme : COURAGE.

J’ai ma réponse. Je comprends aussitôt que, oui, c’est TRÈS grave et que, oui, la suite va être TRÈS difficile.

Hasard ? Peut-être…

Panneau écrit ''Courage''

Quelque temps plus tard, je lance une playlist sur mon Smartphone. Titre en cours de lecture : ‘’Soldier of Love’’ (Soldat de l’Amour) de Sade.

D’autres questions se pointent :‘’Où en est-il dans son coma ?’’, ‘’Et s’il était déjà décédé ?’’. Décidément, je ne suis pas prêt de trouver le sommeil…

Sade chante. Je l’écoute sans l’écouter jusqu’à ce que… Ai-je bien entendu ?!… Je relance la piste. Je réécoute les paroles et vérifie ma traduction dont voici quelques passages :

J’ai perdu l’usage de mon cœur

Mais je suis toujours en vie

Toujours à la recherche de la lumière (…)

Je suis à la frontière de ma foi

Je suis à l’arrière-garde de mon dévouement

Sur la ligne de front de mon combat

Mais je suis toujours en vie. (…)

Je suis perdu mais je ne doute pas

J’avance avec la volonté de survivre (…)

J’ai été déchiré à l’intérieur

Je suis sur le flanc (…)

Sur ce terrain hostile

Je fais de mon mieux pour rester en vie.

Frissons. Incrédulité. J’ai beau être coutumier de l’exercice, la clarté de la réponse est telle que je me sens ébranlé.

Abasourdi, je me repasse le titre plusieurs fois pour être certain de comprendre ce que je comprends. C’est bien ça. A cet instant, je n’ai plus aucun doute. Je sais que je vais revoir mon père. Dans le coma peut-être, mais en vie ! A défaut de dormir, je peux m’apaiser.


Photo de la chanteuse Sade
Et soudain Sade vient me parler…

DANSER AVEC LA VIE

AVANCER QUAND L’ÉMOTION EST TROP FORTE :boussole dans une main
Les synchronicités : une boussole dans votre vie…

Je sais. Ce 5ème outil est mystérieux car, indéniablement, les synchronicités sont une affaire de croyance.

Entendons-nous bien, je ne parle pas ici de signes qu’il faudrait chercher autour de nous pour se raccrocher à un espoir qui nous ferait défaut. Ce serait une forme de superstition qui régalerait notre mental trop ravi de nous entraîner dans une nouvelle course sans fin.

Non, ici, je parle de véritables messages. Je parle d’informations qui vous arrivent d’autant mieux que vos sens sont exacerbés par l’enjeu de la situation.

Et pour peu que vous ayez une confiance suffisante en la vie, vous pouvez entrer sans mal dans une espèce de danse avec elle.

Elle vous questionne… Vous lui répondez :

‘’Que fais-tu de tes émotions ?’’ – ‘’Je les vis intensément’’

Vous l’interrogez… Elle vous répond :

‘’Papa est-il en vie ? – ‘’N’aie aucun doute’’


Un dialogue silencieux… Un vrai échange en douceur avec vous-même.

À force d’attention et de pratique de ces conversations intérieures, les relations que vous entretenez avec les situations de votre vie deviennent plus souples, plus fluides. Évidentes.

Débarrassés des bruits du mental, les messages sont clairs. Ce sont ceux de votre petite voix intérieure…



AVANCER QUAND L’ÉMOTION EST TROP FORTE : EN CONCLUSION

Québec. 17 mai 2020.

Papa est parti il y a 4 mois maintenant. Quand je pense à lui j’ai toujours les mêmes émotions. Pour plagier Brassens, je dirais que : ‘’Le temps ne fait rien à l’affaire quand on est… triste. On est triste.’’

En même temps, je n’ai aucune envie de ne plus l’être, triste… Aucune envie de nier ou de ravaler cette émotion même si on la qualifie de ‘’négative’’.

Car le vide que je ressens est à la hauteur de la place qu’il tenait dans ma vie. Ressentir ce vide, c’est donc aussi ressentir sa présence.

Et la tristesse que je ressens est à la hauteur de l’amour qu’il y avait entre nous. Ressentir cette tristesse c’est donc aussi ressentir la joie d’avoir connu cet amour.

Alors, sans l’ombre d’un doute, je continuerai…

1. A vivre pleinement ces émotions qui me traversent.

2. A respirer profondément pour sentir cette vie qui coule en moi.

3. A rester dans le moment présent avec ces émotions.

4. A les partager avec mes proches.

5. A écouter ma vie.

Et je danserai avec elle…

Car je sais qu’au bout de nos tristesses, comme au bout de chacune de nos émotions, va bientôt s’ouvrir un espace dans lequel paisiblement, peu à peu, notre douleur va pouvoir redevenir… douceur.


AVANCER QUAND L’ÉMOTION EST TROP FORTE : Femme danse au coucher du soleil
Et finalement, danser avec la vie…



👉 Vous connaissez certainement des personnes qui auraient besoin d’adopter ces outils. N ’hésitez pas à partager cet article avec eux !

👉 Confiez-moi les choses que vous mettez en place de votre côté quand les émotions vous assaillent. Je vous répondrai sans faute !

A très vite !

Signature de Jean-François Clausse

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Le titre de Sade que je ne peux plus écouter de la même manière depuis quelques mois mais qui était très joliment mis en scène lors de sa tournée de 2011



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Categories: Changer au quotidien

19 Commentaires

Maeva · 18 mai 2020 à 10 h 09 min

Ouahh !

Je reste sans mot, j’ai parcouru ton article avec beaucoup d’émotion, je te félicite d’avoir pu partager ton histoire et d’avoir transmis par les mots autant d’émotions…

    Jean-François Clausse · 18 mai 2020 à 10 h 16 min

    Oh merci Maeva pour ton gentil commentaire qui me touche beaucoup 🤗 ! J’ai mis beaucoup de moi dans cet article alors je suis vraiment content qu’il t’ait touchée ❤️

Pascale · 18 mai 2020 à 11 h 14 min

Très bel article : merci pour ton humanité et ton authenticité. Je suis en résonance avec ta vision de l’accompagnement des émotions.
Et touchée par la façon dont les synchronicités se sont manifestées dans ta vie, à un moment aussi crucial et douloureux.

    Jean-François Clausse · 18 mai 2020 à 12 h 18 min

    Merci beaucoup pour tes mots Pascale qui me touchent. C’est vrai que les synchronicités ont été très… parlantes en ce moment compliqué et c’est pour cette raison que j’encourage tout le monde à observer et à écouter cette vie qui nous parle en permanence 🤗 .

Valentine · 18 mai 2020 à 12 h 24 min

Je retiens le point 5 « écouter la vie ». Belle formule 🙂 Merci pour cet article très complet et bienveillant

    Jean-François Clausse · 18 mai 2020 à 13 h 00 min

    Tu as bien raison Valentine ! Écouter les messages de sa vie est un exercice des plus salutaires pour son bien-être intérieur ! 🙂
    Merci pour ton gentil commentaire et à bientôt !

      Caroline · 27 mai 2020 à 9 h 05 min

      Bonjour Jean Francois, j’ai été très émue par ton article, tu as su mettre les mots sur les émotions qui t’ont « traversées » et nous les partager. J’aime beaucoup ce terme « synchronicité » qui me parle beaucoup!

        Jean-François Clausse · 27 mai 2020 à 9 h 16 min

        Merci Caroline pour ton commentaire qui me touche et merci à toi surtout pour avoir mis en place ce carnaval d’articles qui m’a inspiré 🤗 🙏

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